Le LPG contribue à une meilleure qualité de l’air
Les particules fines sont une forme de pollution. Les particules fines sont des particules en suspension dans l’air de moins de 10 micromètres. Les données épidémiologiques et toxicologiques révèlent que l’inhalation de ces particules est toxique pour la santé.
Les régions de Londres, Amsterdam, Rotterdam, Anvers et de la Ruhr sont considérées comme la pire source de pollution en Europe.
Aux Pays-Bas et en Belgique, la concentration de particules fines dépasse en général les normes à moins de 100 mètres d’une autoroute très fréquentée, ou à moins de 50 mètres d’une voie urbaine très fréquentée. Dans les grandes communes des Pays-Bas, jusqu’à 10% de la population est ainsi exposée à un excès de particules fines (situation en 2004).
Les normes sont établies en fonction du nombre de jours par an où la moyenne journalière de concentration des particules fines est supérieure à 50 microgrammes par mètre cube
Les moteurs au LPG produisent lors de la combustion beaucoup moins d’oxydes d’azote (NOx) et de particules fines que les moteurs diesel. La plupart des États européens approuvent ces avantages environnementaux et appliquent un faible taux d’accise sur le LPG.
Faibles émissions de CO2
Les émissions de CO2 (dioxyde de carbone) sont un indicateur important pour un environnement durable. Le LPG est l’un des carburants les plus propres mesurés en émissions de CO2. Grâce à l’introduction de normes environnementales plus strictes, le LPG contribue favorablement à un environnement plus propre.
Téléchargements
The LPG Industry Roadmap
Autogas in Europe, The sustainable Alternative
The LPG Carbon footprint
LPG and local air quality